lundi, 26 novembre 2012
gaullisme par ci, aérodrome par là
Déjà le mot n'était même plus prononcé. L'inspiration était donc éteinte. Cette fois, le mot n'existe même plus. Non pas rayé, non pas gommé. Non : effacé, disparu, ignoré, inconnu.
Il ne reste pas grand'chose d'autre à me mettre sous la dent. Si peu de rouge et encore un léger voile brun qui toujours tardera à se dissiper. Se dissipera-t-il un jour ? Vivace, la haine.
J'aime bien les jeunes et vieux "zadistes" de Notre-Dame des Landes, mais ma carcasse ne domine plus les aurores pluvieuses.
Salut trop peu proche ! Mais salut quand même.
Vous diré ce que vous voudré
Il y a prograis et prograis
Aragon
Je pense que je vais rouvrir Armand Robin :
Il n'y a plus sur la terre
Un seul centimètre où s'exercer à lever les haltères de la bonté
08:38 Publié dans les civiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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