vendredi, 27 octobre 2023
Nostalgie algérienne 3
Dans mes derniers jours algériens, début mai 68, près de la Grande Poste, cette rencontre inattendue d'un homme qui me fut si proche et qui me dit alors être devenu depuis sept ans, un "clandestin".
ALI MESSAOUD, un Juste, paisible et bon, égaré par erreur de jeunesse dans l'atroce d'une guerre fratricide.
Cette photo, c'était encore dans le village de regroupement de Tamloul en 1960/1961.
16:37 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Bonjour Jacques André. Je termine votre essai et tiens à vous féliciter pour le témoignage fraternel qu'il apporte sur ce conflit qui laiise encore trop de traces délétères dans les mémoires des deux côtés de la Méditerranée. En fait je voulais l'acheter dès sa parution pour l'offrir à un ami de Skikda, mais mes amis m'avaient convaincu qu'une expédition postale n'offrait aucune sécurité et de livre en livre le vôtre m'était un peu sorti de l'esprit. Enfin voilà chose faite à présent et sa qualité littéraire ajoute grandement au plaisir que j'ai eu en le lisant.Amitiés Philippe.
Écrit par : Louboutin | lundi, 13 novembre 2023
Répondre à ce commentaireGrand merci pour votre lecture attentive.
Avec ma chaleur.
Écrit par : Jacques ANDRÉ | mercredi, 15 novembre 2023
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