lundi, 27 octobre 2008
Marins & Corsaires Nantais (suite des chroniques portuaires)
Le 21 avril 2006, j'expliquai le pourquoi de ma démarche quand j'entrepris de scanner le bouquin de Paul Legrand, j'avais commencé le 1er avril et délaissé préface et introduction ignorant alors dans quelle tâche je m'aventurais et si j'allais la mener à son terme.
Eh bien ! Nous y voici au terme et cette brochure centenaire a trouvé quelque lectorat.
Je dois donc à ce fidèle lectorat marin de revenir aux premières pages de MARINS & CORSAIRES NANTAIS et de publier particulièrement la longue introduction et le paratexte (page de titre, dédicace, préface) qui explicitent le projet de Paul Legrand et souligne la modestie de son propos.
Je ne reprends point mes commentaires sur première de couverture et page de titre ; il suffit de les donner à lire :
L'argument de vente et de vulgarisation explique sans doute le passage du très sévère titre "Annales de la Marine Nantaise" qui fait plus référence au patronage des Société Académique, Société Archéologique et Société de Géographie de Nantes et de la Loire-Inférieure et à la dimension historique reconnue avec la haute approbation de la LIGUE MARITIME FRANÇAISE, passage donc à la première de couverture, destinée à accrocher le chaland nantais.
La modeste mais sympathique revue "Le Pays d'Arvor" était sans aucun doute en quête de reconnaissance, mais aussi à la recherche de quelques espèces sonnantes et trébuchante.
La préface du secrétaire de rédaction du Pays d'Arvor souligne l'effort de la revue pour faire de cette publication "à la fois un manuel de vulgarisation et une luxueuse plaquette de bibliophile".
L'ouvrage est dédié
A M. Charles-Ed. SIMON
Vice-président de la section de Nantes
de la
Ligue Maritime Française
Demain, je publie la préface.
Post-scriptum — qui a cependant quelque chose à voir avec ce qui précède — :
Ces chroniques portuaires ne sont pas loin d'être de vieilles cousines de ce qui se passe sur le VendéeGlobe aux Sables d'Olonne. Peut-être y-a-t-il un peu plus d'argent en jeu ? Quoique ?
16:22 Publié dans Les chroniques portuaires | Lien permanent | Commentaires (0)
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