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jeudi, 11 octobre 2007

c'était déjà hier

Relisant — ça m'arrive souvent — la note d'avant-hier, à l'instar des "embrouillardées" de JCB, j'y suis allé d'un "écritoire" au masculin alors que je devrais savoir qu'écritoire est de jolie féminité.

Donc L'Écritoire du gué : du nom donné naguère à l'ébauche de micro-édition pour les petites brochures des ateliers, tout en gardant "grapheus tis" qui signifie bien cet "un quelconque écrivaillon".

Pourquoi "du gué" : parce qu'au bas de la Basse Bouguinière, remonte un étier jadis emprunté par les pêcheurs pour parvenir à leurs viviers et que pour franchir un étier soumis aux marées, il faut un gué !
Plus guère de traces de ce passé marinier, sinon le ruisseau, s'évasant en étang, qui traverse le parc du Champ-Thoury, le calvaire de... la Croix-du-Gué et la rue du Vivier.

Merci aux commentaires, aux courriels et aux liens qui m'encouragent pour une quatrième année.
À lundi soir, retour de mer !

Commentaires

"Le genre d'écritoire, entre l'étymologie (scriptorium) et la finale féminine, a varié ; il est masculin dans Rabelais et dans plusieurs provinces." (Littré)
La référence à Rabelais n'est-elle pas flatteuse ?

Écrit par : C.C. | samedi, 13 octobre 2007

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