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mercredi, 08 novembre 2006

ce n'est pas grave

Quignard n'est pas venu.
Fallait-il en avoir dépit ?

L'écrivain, le lecteur sont des solitaires. Le rêve d'un contact par solitude.

Liber, XVIIe traité, tome III, p. 415, en Folio



Plus tard dans l'insomnie des nuits....

Qu'étaient-ils, ces deux humains quand ils précédaient le langage ?
Comme une participation fortuite au dialogue de ma note de dimanche entre Caroline, Berlol et FB.

Commentaires

Dommage, tu attendais avec plaisir cette rencontre.
Rencontrer l'auteur de tes lectures...
bonne journée pour demain avec sans doute de beaux échanges en perspective.

Écrit par : jac | jeudi, 09 novembre 2006

Non, ce n'est vraiment pas grave ! Quignard était un peu là quand même et d'une certaine façon, nous a fait voyagé davantage que s'il avait été présent. Paysages du Japon entrevus, jardin de curé donnant directement sur l'Yonne, maison d'édition à peine repérable dans l'immensité de Tokyo, rochers fantastiques en forme de requins, les yeux avaient de quoi se repaître et l'esprit pouvait vagabonder.
Et puis, je le dis de nouveau : le plaisir de la rencontre hebdomadaire avec un lecteur passionné et modeste.

Écrit par : alain bastard | jeudi, 09 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.