lundi, 16 janvier 2006
Toujours dans les aléas
Je dois avoir certainement des lectrices et lecteurs réguliers qui ne sont guère causants, je les comprends : mes minimes errances ne prêtent point au commentaire ; ainsi, je ne commente guère mes blogues fréquentés et les lis pourtant avec quelque avidité.
Depuis hier soir, je pensais écrire sur la violence, thème qui anime les réflexions de notre petit groupe aux “Chantiers”. Je voulais dans la continuité évoquer à nouveau la “philia”. Je vais le faire, d’ailleurs.
Et puis, et puis, me voilà rattrapé par ces petits aléas mi-ennuyeux, mi-amusants qui parsèment les courriels, les sites et les blogues. Depuis quelques jours un certain “comte”, - toujours quelque réticence avant les "de" au sang bleu, comportement un peu bête d'un descendant de laboureurs - et puis ce matin “...pour l’amour de Mozart” m’attire une invite pour le moins franche...
Ça fait plus d’un an que telles interventions ne m’étaient point advenues.
J’avais “dieu” dont j’avais balayé la “crotte”.
Il y eut la “Gourmande”, qui ne me demandait pas de venir la voir, son invite était plus nuancée pour ma naïveté d’alors que celle - l’invite - de la dénommée “Ulla”. J’étais tombé sur un beau cul et sur des textes érotiques (?) , pornographiques (?).
"Ulla", c’est du site dûment tarifé ; donc, j’efface !
Si ce n’est que passager...! Au cas où... jai gardé une note sur “Spams et blogues”. La barrière semble moins aisée à mettre en place que pour le tri sélectif des courriels.
Mais quand même, qu’est-ce que la passion pour Mozart peut susciter ?
Je sais bien que c’était un franc et vigoureux coquin.
Au moment où j'écris cette note, le très savoureux Claude Gaignebet commente la langue des injures et autres grossièretés. Doux mélange de langue savante et de langue populaire !
Alors ? Quid de la propreté du cul bourgeois et du cul paysan ?
23:55 Publié dans Les blogues | Lien permanent | Commentaires (0)
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