mardi, 13 janvier 2015
En ces jours troublants, troublés, troubles
Je n'ai pas écrit. Ou si peu.
Ceci, le jour même du massacre des journalistes de Charlie Hebdo.
Les tueurs ont la lâcheté des fuyards,
Les tueurs ont bien été abattus. Nous étions donc entrés en guerre ?
Je n'ai participé à aucune manifestation.
Je n'exalte pas le CRAYON, précédé jadis par le stylet, le pinceau, la plume, accompagné aujourd'hui du clavier prolongé par l'écran.
Trop souvent ils ont précédé l'Arme.
10:22 Publié dans Les graves | Lien permanent | Commentaires (0)
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