samedi, 26 janvier 2013
en miroir à la "flemme" de Léautaud
Je cherche la trace d'un aphorisme de Char dans la Rougeur des Matinaux. Mais c'est comme à chaque fois, à la basse mer, sur l'estran héraclitéen, je ne trouve jamais le même galet.
En voici un, miroir de la "flemme" d'hier :
Ne te plains pas de vivre plus près de la mort que les mortels.
Rougeur des Matinaux, XIX
12:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.