lundi, 26 mars 2012
retour de mer
Quand le MAL agit un homme : des enfants morts.
Sur les vasières de l'estuaire, les Tadornes s'accouplent. Passée l'écluse, aux rives de la Vilaine bourgeonnent, roux, les saules, les hêtres et les peupliers.
10:00 Publié dans la guerre, les civiques, Les nocturnes | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
"Quand le poète, en temps de guerre, de guerre
Contempla la beauté du cosmos étoilé, toilé
Il ne put s'empêcher de verser une larme..."
(Giani Esposito, "À tititre posthume")
Écrit par : C.C. | mardi, 27 mars 2012
Comment remercier ?
Sinon reprendre cette citation de Bergounioux que fait C.C. dans sa dernière note :
"Je ne sache pas qu'il y ait un sens à la vie. Le mieux qu'on puisse faire, c'est de passer avec nos semblables le temps qui nous est départi parmi les choses qu'on a touchées, les bonnes, de préférence." (Pierre Bergounioux, La Casse, Fata Morgana, 1994)
Son commentaire étant parmi ces "choses bonnes", ce mince moment de lecture que nous pouvons partager.
ET ré-écouter Esposito.
Écrit par : grapheus tis | mardi, 27 mars 2012
Les commentaires sont fermés.