lundi, 12 décembre 2011
hier à l'aube
La voix de Mau dans le gris du petit matin : « Étienne est mort ».
J'ai froid. C'était mon Copain !
En boucle dans ma tête, ces bribes du texte de Char :
« Son visage parfois vient s'appliquer contre le nôtre, ne produisant qu'un éclair glacé. Le jour qui allongeait le bonheur entre lui et nous n'est nulle part. Toutes les parties — presque excessives — d'une présence se sont d'un coup disloquées. »
18:00 Publié dans Les nocturnes | Lien permanent | Commentaires (0)
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