samedi, 08 janvier 2011
toujours en 2011 à minuit saluer Cendrars
Depuis le solstice, à minuit, Orion dans le sud, encore au méridien.
C'est mon étoile
Elle a la forme d'une main
C'est ma main montée au ciel
Durant toute la guerre je voyais Orion par un créneau
Quand les Zeppelins venaient bombarder Paris ils venaient toujours d'Orion
Aujourd'hui je l'ai au-dessus de ma tête
Le grand mât perce la paume de cette main qui doit souffrir
Comme ma main coupée me fait souffrir percée qu'elle est par un dard continue !
Orion
Feuilles de route
Le 21 janvier 1961, enfin il laisse aller !
2011 sera-t-elle l'année de Cendrars ?
Ant(e)Modernes*, PostModernes et autres de tous crins, poètes, romanciers, autobiographes, essayistes, blogueurs, ne l'oublions point.
N'a-t-il pas ouvert les voies !
*AntEModernes ou AntIModernes : j'ai préférence pour le premier terme, moins agressif, à l'image de certains littérateurs que l'on — mais qui "on" ? — classe avant ou contre les Modernes.
Post-scriptum : À propos, qui sont les Modernes ?
16:17 Publié dans Cendrars en bourlingue, "Poètes, vos papiers !" | Lien permanent | Commentaires (0)
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