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jeudi, 31 décembre 2009

pour achever l'an

Il y a, parfois, des veuves qui font de bonnes œuvres pour leurs défunts poètes.
Fallait-il éditer le Trousseau de Moulin Premier, déjà publié, pp. 76-79,  dans René Char, Paysages premiers, par sa veuve ?

Pourquoi pas ? Les bibliophiles en seront ravis !... Je ne refuse pas la bibliophilie.

 

C'est au moins l'occasion de réeentendre Char scander quelques-uns de ses textes dans l'émission de samedi dernier,  Ça rime à quoi *

 

Au bout du bras du fleuve il y a la main de sable qui écrit tout ce qui passe par le fleuve.

 

René Char

Moulin Premier, LX

 

* Merci à qui signala Char disant ce martèlement d'amour qu'est le poème A***, qui clôt À une sérénité crispée.

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