lundi, 14 décembre 2009
ce pourrait être une banale histoire de... mais
« C'est un feu dévastateur, c'est un viol immense de la paix humaine, avec tout à coup de ces agenouillements au bord de l'abîme dont le seul Claudel a le secret ; c'est aussi un ramage sublime »....
Stanislas Fumet
C'était Partage de midi de ce sacré foutu Claudel... Paul, évidemment. C'était sur France Cul, hier au soir. Il est toujours possible de réécouter, une semaine durant, ce grand charroi de mots, d'amour trompé, d'amour trompeur, de mer, dans l'écrasement d'un soleil tropical. Et la mort qui rôde !
Dommage que dieu et sa grâce y soient parfois envahissants. Mais le parfum de la Faute sublime le verbe. Ah ! et cette "Odor di femina" ! N'est-ce pas ?
18:42 Publié dans "Poètes, vos papiers !" | Lien permanent | Commentaires (0)
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