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dimanche, 22 novembre 2009

une musique parfois...

...encore dans les flottements légers du sommeil et la tiédeur de la couette, dans les écouteurs du petit mp3, "tes boucles d'oreille musicales" dit ma voisine.

Une mélodie bien connue, des trilles suspendues dans les aigües, qui s'allongent, se répètent, et puis comme un sentiment que la cadence se rallonge indéfiniment, la mélodie se désaccorde, les trilles reviennent soutenues par des roulements aux timbales, inhabituels . La mélodie toujours insoutenable de beauté qui semble s'égarer dans un labyrinthe dont le violon ne souhaite point la sortie.

 

Inouï, si le mot n'est pas aporie en écrivant de musique.

 

À pleurer parfois — chez l'écoutant, se rapprochent des jours qui chaque annnée, si lointains et trop proches,  s'obscurcissent d'une ombre bien-aimée.

 

Une écoute si neuve ! Ne suis qu'un piètre mélomane, dans les limites de l'illetrisme musicale.

À réécouter : c'est disponible sur France Mu pendant tout ce dimanche et, pendant trente jours, écoutable "à la carte"en cliquant sur le lien marqué au rouge et en patientant quelques minutes... ou quelques secondes, le temps de dérouler en accéléré le journal et la présentaiton de l'émission.

 

Réécoutez, vous-dis-je !

 

 

Commentaires

On a peut-être un peu trop entendu ce célébrissime concerto... C'est le problème avec les "classiques favoris", auxquels on ne prête parfois qu'une attention défaillante. Deux belles versions (Henryk Szeryng, David Oistrakh) dans l'intégrale "Brilliant Classics". J'écoute plus volontiers, aujourd'hui, les sonates pour violon : superbe interprétation "historique" du "Printemps" par Adolf Busch (1933) chez Naxos (8.110954).

Écrit par : C.C. | dimanche, 22 novembre 2009

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