lundi, 15 décembre 2008
lisant Mallarmé...
La mer dont mieux vaudrait se taire que de l'inscrire dans une parenthèse si, avec, n'y entre le firmament — de même se disjoint, proprement, de la nature. Quelque drame d'exception, entre eux, sévit qui a sa raison sans personne.Grands faits divers,
Divagations
Poésie/Gallimard, p. 316.
Brume d'automne au large de Penerf.
...qui a sa raison sans personne ? Peut-être Mallarmé a-t-il oublié les oiseaux ?
16:32 Publié dans les marines, "Poètes, vos papiers !" | Lien permanent | Commentaires (0)
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