samedi, 30 juin 2007
de amicitia
Centenaire Char
«... l'envie d'écrire des poèmes ne s'accomplit que dans la mesure précise où ils sont pensés et sentis à travers de très rares compagnons.»
«... C'est une lettre silencieuse que j'aurais aimé vous écrire, comme la planche de Parménide dont parle Nietzsche, celles-là sont seules pleines de ce qui convient. »
René Char à Albert Camus
12:20 Publié dans Char à nos côtés | Lien permanent | Commentaires (0)
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