lundi, 27 février 2006
de l'influence de la géographie sur le penser
Pour détendre "ma" langue des fractures mentales d'Artaud, retour au Bonheur fou de Giono, par lecture nocturne :
À faucher les prés, fendre le bois et égorger les carpes qu'on pêchait de temps en temps à l'épuisette dans un grand vivier, il pouvait se consacrer entièrement à ses idées. Or, dans ce désert rocailleux et sylvestre, la moindre idée était exquise.
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