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mardi, 01 novembre 2005

Une absence de bonté

J’écoute, hier soir, d’une oreille distraite les informations télévisées ; on y énumère les dérapages verbaux de deux ou trois de ces messieurs chargés de l’ordre public à l’encontre de populations souvent d’origine étrangère. On nomme Pasqua, Chevènement, on oublie Marcellin, on s’attarde sur l’actuel Sarkozy...

Quand je me rends attentif au faciès de ces messieurs, ce que j’en retiens, c’est l’absence de bonté.

Un seul me semble avoir échapper à ce manque : Gaston Defferre ! Je n’oublie point qu’il fut, en 1981, le premier à dépénaliser officiellement l’homosexualité.

Dans la triste actualité urbaine de ces jours, le "comble" de cette absence est cependant atteint par le petit monsieur nicolas, ce coquelet qui quoique coucou voulut être roi.

Commentaires

jeu de piste et je en piste qui s'entrecroisent d'échos en échos sur la toile....au commentaire du 27/10, c'est Berlol qui me répond, je découvre qu'il s'appelle Patrick Rebollar et il m'entraine dans les appartements de femmes d'Alger en compagnie d'Assia Adjebar dans la salle 601 de la Maison France Japonnaise de Toyo à la recherche du GRAAL...étonnant cette fenêtre qui s'ouvre le matin du 2/11/05 alors que je suis à Bordeaux, port de passage et de passe-âge, avec pour cap la vieille cité de La Rochelle.....
à propos de salle 601, as-tu ( ou avez-vous) lu salle 6 de Tchékov ?
Et merci à Berlol pour ces quelques mots de passage
francois

Écrit par : F jost | mercredi, 02 novembre 2005

Sur "l'absence de bonté" des politiques : il est facile de mesurer, lorsqu'ils condescendent à s'approcher du "peuple" (id est : des électeurs potentiels), à quel point leur cordialité est factice. Poignées de mains, sourires mécaniques... mais au moindre propos critique, les voilà sur la défensive, hargneux, prêts à mordre, à faire rentrer l'insolent sous terre. Je me rappelle, justement, avoir vu à la télévision un extrait d'une conférence de Sarkozy, à Lille, je crois, devant un public d'étudiants (genre petits gommeux, droit ou commerce) ; l'un d'eux, ayant posé la mauvaise question, fut illico rabroué et ridiculisé en public. Facile, devant une salle pleine de flagorneurs, et pas très glorieux. Même attitude, avec les journalistes ou les quidams, des Juppé, Fabius et autres Devedjian... Comment peut-on s'humilier jusqu'à aller applaudir ces escrocs, méprisants de surcroît ?

Écrit par : Panurge | jeudi, 03 novembre 2005

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