dimanche, 16 octobre 2005
Tulipe noire et Manteaux noirs
Parfois un film, mais ce soir deux !
Le dévergondage cinématographique, c'est, en une seule soirée, enchaîner la Tulipe noire et Matrix Révolution !
Il s'agit bien d'amour et de révolution. NON ? Et Sion libérée vaut bien la Bastille prise.
Dommage, si Keanu Reeves vaut bien le clone de Delon, il manque aux frères Wachowski le "Plantain" de Christian-Jaque.
C'est Francis Blanche qui est Plantain.
Demain ou après-demain, je suis sérieux, je publie la note sur Serge Essénine.
Post-scriptum :
Sans doute, est-il trop peu question de cinéma dans (sur ?) ce blogue, mais en le rédigeant, le lecteur a ouvert la page du Monde de ce dimanche, à la page "Culture" ; sur toute la largeur de la page :
.Guy Debord, dynamiter le cinéma par le cinéma
Cette page, à propos de la parution des œuvres cinématographiques du situationiste en coffret de dvd.
Aurais-je joué une soirée à la Debord ?
23:35 Publié dans Parfois un film | Lien permanent | Commentaires (0)
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