dimanche, 11 septembre 2005
Assia Djebar a écrit...
...La poésie populaire reste devant ; un phare dans les ténèbres de l’éclipse d’hier. Une raison aujourd’hui d’espérer en finir avec le déchirement d’un bilinguisme qui semble boiter des deux jambes.
En finir un jour de parler sa langue maternelle comme un enfant qui apprend à marcher, et sa langue de culture comme un étranger masqué.
Assia Djebar
Préface à
Poèmes pour l’Algérie heureuse
SNDED, Alger
18:27 Publié dans les lectures | Lien permanent | Commentaires (0)
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