Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 05 février 2005

En écho à Cadou

...Comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfoncé
Dans la poitrine ce goût de vivre comme un clou rouillé

 

René Guy Cadou
Après Dieu, le déluge
L'héritage fabuleux
in Hélène ou le règne végétal



Quand "l'attentive" poursuit la lecture et nous donne le fétu d'un "Pater noster" peu orthodoxe.

Commentaires

Des clous rouillés, j'en trouve dans la terre de mon jardin; il en faut , paraît-il un peu, pas trop!
il pousse aussi des cailloux tous les ans, on se demande d'où il viennent. mais quel plaisir de planter les premières pommes de terre, les deux rangs d'échalotes et quelques salades.
c'est un pied de nez à l'hiver; les oiseaux commencent à chanter, le soleil prend de la force et nous caresse le cou comme une femme.
un avion passe là-haut, où vont-ils donc engoncés dans leur fauteuil à air conditionné? n'ont-ils donc pas de jardin à faire, ;de clous rouillés et de cailloux à y ramasser?????

Écrit par : chauvel | samedi, 05 février 2005

"Gottfried August Gottfried August le jardinier
Pressez on vous demande à la porte d'entrée"

Pierre, n'oublie point de planter des lys !

Écrit par : grapheus | samedi, 05 février 2005

Les commentaires sont fermés.