vendredi, 28 février 2020
à suivre donc
pour UNE, pour deux, sans doute pour d'autres
Ce que sera, s'il y a approbation de l'éditeur,
la quatrième de couverture d'algérienne(s).
Bribes d’un récit de guerre, amplifiant et refaçonnant la bonté et la cruauté, la lâcheté et le courage, bribes survivantes d’un doute constant entre vécu et imaginaire.
Est-il possible de penser cette banalité d’un homme parmi cinq cent mille autres avec des marges sombres, des remugles, des refus, des aubes, du sang, les sueurs aigres d’une marche, la peur, la vacuité, la somptuosité d’une chevelure nocturne, la matité d’une peau, la pestilence d’un cadavre piégé et l’ouverture femelle d’une figue fraîche près de la source ?
Suffirait-il de ces moments évoqués pour bâtir une si mince contribution à l’habitabilité du monde ?
Jacques ANDRÉ dit DAC'HLMAT, conseiller d’Éducation populaire, plus de trente années durant, au sein d’institutions d’Éducation de base en Côte d’Ivoire, en Algérie, au Sénégal, puis en France, dans le service public et le réseau associatif, accompagna des femmes et des hommes qui souhaitaient grâce à une meilleure maîtrise de leurs langues, parlées, lues, écrites, parvenir à leur émancipation, à leur épanouissement.
à Pascale, lectrice attentive et patiente
09:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 27 février 2020
mille deux cent quatre-vingt neuvième note — j'écris bien 1289
Bientôt trois mois de silence !
Abandonnerais-je ainsi presque seize années de blogue parce que ci, parce que ça ?
Bientôt, ainsi, parce que...
Si encore croyant, j'entre en carême ?
Si désormais sans foi, je vais sortir de l'hiver ?
Sans doute depuis un nombre certain de mois, sinon d'ans, sans visiteuse, sans visiteur, sans commentaires.
Néanmoins, je maintiens.
Et chaque soir la bleuité de Sirius en mon sud !
16:10 | Lien permanent | Commentaires (1)