mercredi, 21 novembre 2018
novembre 1964
Quels jours plus sombres que ceux de cet automne-là aux rives de la Méditerranée ?
Te maintenir déserté !
09:46 Publié dans Les nocturnes | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 14 novembre 2018
« nulla dies sine linea »
Lisant Quignard* citant Pline l'Ancien citant Apelle le peintre :
Nulla dies sine linea
Comprendrai-je la leçon et la mettrai-je en pratique dès demain ?
* Pascal Quignard, Une journée de bonheur, Arléa, 2017 (Arléa-poche 234)
À propos de ce bouquin, j'ai noté en ex-libris :
mais quel dommage que
l'aurore soit suivie de l'aube,
quand celle-ci précède celle-la
J'y reviendrai.
18:26 Publié dans Les antiques, quelquefois Quignard | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 10 novembre 2018
traces douloureuses et glorieuses, selon....
au hasard d'un vieil album ou... d'une plus vieille encore boite à chaussures...
Il s'appelait Marcel Gilais. C'était le cousin de ma mère. Il était orphelin.
Engagé volontaire de la classe 1918, il était artilleur — Apollinaire, salut ! — à 5 heures du matin, le 17 août 1918, il meurt d'un éclat d'obus en plein cœur.
Ma grand'mère, inquiète de son silence, reçoit cette lettre, le 20 octobre.
et cœtera, et cœtera....
Marcel Gilais
est le dernier nom gravé au bas du monument aux morts du cimetière de Beslé-sur-Vilaine.
Ainsi va la gloire !
Ou la douleur ?
13:23 Publié dans la guerre | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 04 novembre 2018
....et le dernier dahlia....
Et le dernier dahlia dans un jardin perdu !
René-Guy CADOU
Le chant de solitude
Hélène ou le règne végétal (1949
11:59 | Lien permanent | Commentaires (0)