lundi, 09 janvier 2012
retour des Asturies 2
Dialogue surréel dans les rues d'Oviédo — je ne sommeille point, je lis un livre de bronze que me commente le statufié.
Plus tard, un autoportrait sur l'angle du mur de la très vieille maison asturienne couverte de lauzes, qui nous abrita.
Sur le banc de l'image précédente, sans doute pouvait-on y lire ce texte du poète galicien José Àngel Valente
Une fois encore, le sot
inutile étend
sa perisitance et triste araignée
vers quelle ombre ?
L'éclat, V
13:00 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
J'aime ces statues aux poses familières que l'on trouve installées dans plusieurs villes d'Europe : Prague, Varsovie, Lisbonne, et plusieurs villes d'Espagne !... hélas, je n'en vois pas dans nos rues françaises : ce style simple, figuratif, reconnaissable par tout le monde ne plairait-il pas à nos subventionneurs officiels ?
cordialement
alainB
Écrit par : BARRE alain | mercredi, 25 janvier 2012
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