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dimanche, 27 juin 2010

à Yeu

Le 25 au soir, quand, au Foleux, nous larguons le ponton, un milan noir, haut dans le ciel.

 

Passée l'écluse d'Arzal, au mouillage de Tréhiguier, un couple de Tadornes de Belon surveille sa nichée dans la vasière de l'estuaire.

 

Le 26, par temps de demoiselle, longue descente ensoleillée sur l'île d'Yeu. Mau et moi retrouvons des étendues marines et des amers naguère familiers, la Banche et sa cardinale ouest qui balise le plateau, le Pilier, la Petite Foule, les Chiens Perrins.

Et entre les digues de Port-Joinville, la si belle passerelle de la Galiote d'où les Islaises hâlaient les thoniers, retour de la Biscaye.

 

 

Pêcheur qui t'es levé de bon matin,

Regarde à terre les Chiens Perrins :

Si malgré l'beau temps, la passe brise

Le suroît t'réserve une surprise.

Quand brise par calme la Sablaire

T'auras sal'temps d'ouest et misère


tiré de l'Almanach du Marin Breton 1906.


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