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jeudi, 18 février 2010

de ci de là

Enfin, le redoux et la pluie légèrement tambourine à la vitre. J'aime. Désormais éloigné — du moins je l'espère — des rigueurs neigeuses de Paris, la semaine dernière.


Mais ce fut beau d'entrer et de sortir des outre-noirs de Soulages en deux bourrasques.

tuileries.jpg

 

artsprem.jpgPuis d'aller par des jardins et des quais blancs de glace de l'Orangerie — aux Nymphéas en quatre saisons — à l'ombre tiède des Arts Premiers, de leurs niches lumineuses d'où sortent, dérobés aux tropiques et autre équateur, des masques et totems qui me furent familiers.

 

J'ai craint les amas fripiers de Boltanski — on disait que le Grand Palais était, en tous points, glacial... Bourdaily-on-the web avait été pourtant bien près de me convaincre.

 

Hier, à Clisson, après-midi en archives familiales avec la très âgée — cent quatre ans —et encore mentalement très verte, la cousine Marie de Boussay, comme une grande sœur qui enchanta mon enfance de guerre. Elle commente le XXe siècle de son âge et n'oublie rien de sa journée d'avant-hier.

 

Aujourd'hui, sortent des étagères et s'accumulent en petits tas les Surréalistes pour la préparation d'une soirée à l'Atelier des Soupirs, où Al, le "photographieur" et votre modeste "écrivassier" tenterons de persuader notre auditoire que nous sommes, eux et nous, des "surréalistes sans le savoir".

Peut-être commencerons-nous par définir d'oulipienne manière quelques mots au hasard ?

— Qu'est-ce que dieu ?

— Ce n'est pas tous les jours dimanche.

 

 

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