mercredi, 31 janvier 2007
las, las et malgré tout...
Épuisant, l'époussetage des livres, même si la réouverture d'anciens bouquins est belle glane.
Monter, descendre, remonter, redescendre ! L'escabeau n'est pourtant pas bien haut.
Aujourd'hui, c'étaient les grands familiers... et quelques rares dont un certain Calaferte qui me trouble toujours autant avec sa Mécanique des femmes :
— Tu sais qui je suis ?
Ironique.
— Une débauchée.
Son mouvement lascif.
— Débauchée, luxurieuse, corrompue, déréglée, voluptueuse, immorale, libertine, dissolue, sensuelle, polissonne, baiseuse, dépravée, impudique, vicieuse.
Me baisant la main avec une feinte dévotion.
— Et malgré tout ça, je veux qu'on m'aime.
18:35 Publié dans Les blogues, les lectures | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
On ouvre les livre; on s'y retrouve; ils vous parlent et vous sourient.
Écrit par : Kate | mercredi, 31 janvier 2007
Mhhh le plaisir de decouvrir les livres...
Écrit par : Sushi | mercredi, 31 janvier 2007
Calaferte encore et toujours, je pensais qu'il était moins lu qu'avant mais cela fait plusieurs blogs où j'entends parler de lui. Je l'évoque aussi dans mon livre si cela vous interesse.
cordialement
Julien Desplanques
Auteur de "Tableau noir et Gyrophare" aux éditions Orphie. Blog:
http://juliendesplanques.en-normandie.com/
Écrit par : desplanques | dimanche, 04 février 2007
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