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dimanche, 21 janvier 2007

ensoleillée, la Loire

Balade ensoleillée dans la vallée gorgée d'eau.
Envol d'aigrettes, une puis deux, puis cinq, deux hérons cendrés restent impassibles. J'ai dans les oreilles l'Élégie pour la mort de son père de Dietrich Buxthehude, comme une tendre plainte bien accordée à ce ciel de traîne.

Dommage que les compagnons "vététistes" labourent certains sentiers, le piéton n'en finit plus de patiner. Par pluies abondantes et durables, il faudrait que l'usage des ces chemins leur soit déconseillé.

Avant-hier, je suis allé voir La Flûte Enchantée filmée par Kenneth Brannagh ; contre les critiques acerbes, j'ai beaucoup aimé. De quelle guerre s'agit-il ? Ce n'est pas si sûr que ce soit celle de 14-18, même si les tranchées sinuent dans l'horreur loufoque. Les pantins s'agitent et chantent.
Échapppe à la dérision l'atelier de Sarastro, un monde chaleureux d'ouvriers et d'artisans, très fouriériste. Mozart, chanté en anglais, acquiert une légèreté que mon mauvais goût apprécie. Et après cette ènième écoute de la Flûte, c'est, pour moi, hors de doute, je suis du côté de Papagéno.

J'ai enchaîné ma soirée en allant avec Jac, Se, mes voisins, et Nicléane voir Le grand appartement de Pascal Thomas. Nous y avons souri ert ri.
Mes tendances sensuelles se sont réjouies de l'éloge des aisselles poilues et j'ai admiré fugitivement l'abondante et brune toison "jouvienne" de Lætitia Casta qui, je l'espère, n'était point un pudibond postiche.

Commentaires

Un de mes amis pensait le plus grand bien de l'interprétation, au cinéma, de Carmen par Julia Migenes. À cause du poil aux aisselles d'icelle.

Écrit par : C.C. | dimanche, 21 janvier 2007

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