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lundi, 08 mai 2006

un 8 mai parmi d'autres

Déjà l'an dernier, j'avais puisé dans mes chroniques algériennes - toujours inachevées - pour ne pas laisser dans l'oubli - ou dissimulé derrière la reddition de l'Allemagne nazie - un 8 mai 1945, jour de paix qui, à Sétif, commença dans le sang. Le massacre se prolongea un mois dans l'Est algérien.
Je renvoie sur le site Dac'hlmat un peu délaissé au profit de ce blogue, au texte "vers Biskra" ; c'est manière d'évoquer et de commémorer.

Un jour, je me déciderai peut-être à achever Algériennes et à les remettre à l'un ou l'autre de "mes" éditeurs (?).
À moins que je n'opte pour une simple et libre publication sur la Toile.
À moins que je n'utilise les services internautes de In libro veritas, un éditeur en ligne - qui se veut de "littérature équitable", comme me le rappelle, dans un autre contexte, Berlol, l'homme du Journal littéréticulaire et modérateur de la liste LITOR.
À moins que... ces chroniques ne soient jamais achevées, comme le laisse pressentir leur incipit : "Lui faudra-t-il vraiment écrire cette histoire ?"

Nous sommes souvent d'oublieuse mémoire, je rappelle donc deux références sur ce 8 mai 1945.

• KATEB Yacine, Nedjma, Le Seuil, 1956.
• Yves BENOT, Massacres coloniaux, 1944-1950 : la IVe République et la mise au pas des colonies françaises, préface de François Maspéro, Coll. Sciences humaines et sociales, La Découverte/poche, 2001.

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