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samedi, 08 janvier 2005

La folle journée

Au mitan de la nuit, dans le serpentin d'attente de la Folle journée "Beethoven".
Le coup de vent n'était pas encore arrivé et à six heures du matin, je recevais le 328ème ticket... pour revenir réserver les places, en début d'après-midi.
Je n'ai jamais écouté "en vrai" la IXe : Ludwig Van peut bien exiger une demi-nuit blanche.

Quignard aurait écrit, mais je ne l'ai point trouvé dans le Dernier Royaume :
« Le silence qui suit Beethoven, c'est encore du... Haydn ! »
Croche-pied musicolo-littéraire un peu facile.

À midi,

J'ai quasi tous les concerts souhaités par les amis : la IXe, le concerto pour violon, le Ve concerto "l'Empereur", les sonates et Barbara la belle Négresse qui eût été en d'autres temps une "Immortelle Bien-Aimée" probable !

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