mercredi, 24 novembre 2004
Rien
Tant de silences entre tous ces jours
Mots brûlés
paysages obscurcis
luxuriante chevelure noire
Je n'avais pas toujours su te suivre sur la route de Ta mort
00:30 Publié dans Les nocturnes | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un coeur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul ELUARD (Le Phénix)
Écrit par : The(lo)and | mercredi, 24 novembre 2004
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