retour encore incertain ! pour le rugby, peut-être ?
vendredi, 31 août 2007
Ce soir, ou demain à l'aube, je largue.
En solitaire.
Jusqu'aux Glénan, si les dieux qui n'existent guère sont favorables ?
Brandan — cf. la note de la veille — n'avait point tel souci :
Brandan s'en vait d'iloec avant
Ben set de Deu ad bon guarant
E li muine bien sevent tuit
Que segur sunt al Deu cunduit
Post-scriptum (qui n'a rien à voir avec ce qui précède) :

Ma bien chère filleule, Anne, a mérité un bel article dans le magazine du Conseil régional d'Aquitaine. Certes, il y aura de belles empoignades à regarder dans nos lucarnes, mais son bouqin, ÊTRE RUGBY, nous guide encore un peu plus, et avec humour, dans la compréhension de la mêlée.
À lire.
Je suis fier de ma filleule !
3 commentaires
Je pense que la jeune Anne est très souvent émue en pensant à son oncle.
"Ce soir, ou demain à l'aube, je largue." Bon vent à toi blogueur nantais.
Je ne connais pas encore les Glénan et c'est prévu mais en attendant je vais rejoindre prochainement le pays de René Char.
En "adaptant" Char :
« Salut à "celle"qui marche en sûreté à mes côtés, au terme du poème. "Elle" pasera demain DEBOUT sous le vent. »
Et, (sans doute !?), bon jour à "Tout à fait décousue".
Ne serait-ce pas la personne que j'ai entendue sur France-Culture, il y a deux jours ?
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