rapport de mer
lundi, 24 septembre 2007
Chante, douceur, à la dernière palpitation du soir et de la brise, comme un apaisement de bêtes exaucées.
Et c'est la fin ce soir d'un très grand vent. La nuit s'évente à d'autres cimes. Et la terre au lointain nous raconte ses mers.
Saint-John Perse
Vents, IV,6
d'un crépuscule à une aurore, quand Nicléane bascule ses horizons marins !
1 commentaire
Cherchant ce soir, à des fins d'écriture, le texte de "Elle va à la pension du Sacré-Coeur", j'arrive sur votre site - le seul, d'ailleurs, qui donne un peu de ce poème. Je lis, ému, votre belle page sur Jammes (qui date de 2005...). Large sourire vers vous, vers votre belle parole, vers votre émotion. Bien des souvenirs me reviennent en mémoire, dont ce pélérinage sur la tombe de Francis, à Hasparren, où personne n'a plus le souvenir de cet immense poète, aussi âpre que Claudel, à la tonalité si originale...
Un grand merci pour lui.
Et je constate, parcourant vos "posts", que nous avons bien des goûts en commun...
L.E Martin
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