week-end d'aide-soignant
dimanche, 18 mars 2007
Guère le temps, ni le goût de rédiger une note quand votre "peintureuse" préférée revient après quinze jours d'hôpital — du service public, nous y tenons — et une prothèse en son foyer. On pousse le fauteuil roulant, on passe les cannes, on mijote de petits plats : mais, rien n'est triste, car, et elle ...et moi, nous allons vers un mieux quand la prothèse sera intégrée.
À peine le temps de jeter un coup d'œil aux vacheries qu'un certain Corcuff débite dans Le Monde sur un "Jean Baudrillard (qui) n'a pas eu lieu".
Quand la modestie sans doute d'un honorable penseur laisse sourdre comme de l'envie ?
Demain, Printemps du cinéma: quatre ou cinq films à attraper avant qu'ils ne disparaissent des chaînes à consommer : Le voile des illusions, Les témoins, La vie des autres, Danse avec lui, Par effraction, Lettre d'Iwojima, Blood diamond, Volem rien foutre al païs, La Cité Interdite.
Comme jadis à la Cinémathèque d'Alger, à peine sorti de l'obscure salle et déjà rentré.
Je n'oublie pas les "mots" chez René Char. C'est par ce chemin qu'il m'eût fallu commencer l 'évocation de "mon" poète centenaire.
Les mots qui vont surgir..., c'était l'épigraphe de la première note de ce blogue en octobre 2004.
1 commentaire
Un grand bonjour à Nicléane dont j'ai vu un collègue en peinture au musée d'art moderne : Fautrier !
alain
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