Assia Djebar a écrit...
dimanche, 11 septembre 2005
...La poésie populaire reste devant ; un phare dans les ténèbres de l’éclipse d’hier. Une raison aujourd’hui d’espérer en finir avec le déchirement d’un bilinguisme qui semble boiter des deux jambes.
En finir un jour de parler sa langue maternelle comme un enfant qui apprend à marcher, et sa langue de culture comme un étranger masqué.
Assia Djebar
Préface à
Poèmes pour l’Algérie heureuse
SNDED, Alger
Les commentaires sont fermés.