dimanche, 21 juin 2009
pour refermer temporairement la geste de Myrddin VI
au solstice d'été Le barde, le chien ; le barbet, le barde, voyageurs de l'hiver s'enfoncent dans la forêt. Toute l'eau de la mer vient frémir dans les premières branches, celles qui sont au bord de la forêt. L'écume se fait taches et lunules sur les fûts qui montent, qui montent, et le frémissement, même, cesse d'être perçu. Se présente la clairière, la trouée dans les bois : écorce et paille souple. Deux buses lentement tournoient, se poursuivent sans paraître se voir, s'éloignent et se perdent et se dissipent, se dissipent. Derrière le serré des arbres : dents de peigne sur le...