Archives > 2014-05
Passées les rudesses acérées des falaises, Bilbao la tentaculaire et son "Guggenheim" cette ferraille inoxydable de rigidité qu'en son ventre, Neto le plasticien brésilien a subverti de sensualité dans des rêves de Terre Mère.
Il suffit de pénétrer, de parcourir, de humer, de heurter, de caresser. J'ai donc pénétré, parcouru, humé, heurté, caressé. Ce que dit Neto de ce qu'il me propose :
« Je vois en grande mesure le corps comme un paysage – comme une mer, un champ — et la sculpture aussi est un paysage».
Du doux bord à la...
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Cette beauté farouche des falaises basques et dans leurs déchirures, les ports de pêche.
Guetaria
Ondarroa
Leiketio
Elantxobé
Pour achever le sinueux périple dans l'estuaire du Rio Guernika, à Mundaka, la référence basque des surfeurs et autres bodyboarders.
Le lendemain, à Bilbao,...
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De Roncesvalles vers Compostelle, je n'ai guère fait que cinquante mètres. Ma foi ancienne ne me donnait point le courage d'affronter les huit cents kilomètres qui me restaient jusqu'à...
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au Pays qui vit de l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir,
pays de la belle Corisande d'Andoins à qui Montaigne dédia les sonnets de La Boétie, de Francis Jammes, de Paul Jean-Toulet, de...
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