dimanche, 28 novembre 2004
Au sortir de la douleur
“Toute cette douleur... au moins, est-ce que ça apaise de la nommer ? “ Oui ! Amie ! La nommer, mieux l’écrire, la rend portable - comme on dit “porter le deuil”. Tu sors le regard lavé de l’inessentiel. Du moins pour un temps. Tu réapprends la bonté. Pour tenter d’éclairer l’énigme, il faut reprendre la glane. Dans les livres, sur les écrans, sur les ondes. Dans la présence si tendre de la compagne de mes jours. Dans les regards des amis, dans la chaleur de leurs mains, sur leurs lèvres hésitantes. France Cul, le 5 octobre de cet an, diffusait un entretien de Michel...